Tous les articles par Claire Madl

Affectation au CEFRES de chercheurs CNRS – 2016

Date-limite de dépôt des dossiers : 2 mars 2016
Période du séjour : à partir de septembre 2016
Critères d’éligibilité : être chercheur ou ingénieur de recherche du CNRS

Le CEFRES fait partie des centres de recherche à l’étranger vers lesquels les chercheurs CNRS peuvent demander leur affectation auprès de l’Institut des sciences humaines et sociales (INSHS).  Les durées d’affectations sont variables mais ne peuvent dépasser quatre années.

Les dossiers de premières demandes de mobilité doivent être adressés, à Pascal Marty (DAS Europe et international – pascal.marty@cnrs-dir.fr) ainsi qu’à Diane Brami (Déléguée UMIFRE – diane.brami@cnrs-dir.fr).

Le dossier de mobilité doit comprendre :

  • un projet de recherche
  • un CV actualisé
  • une lettre d’intention
  • une lettre d’acceptation du directeur(rice) de l’USR ou de l’UMI
  • une lettre d’acceptation de la directrice du CEFRES, Clara Royer (pour tout renseignement : clararoyer@cefres.cz).

Calendrier de la campagne 2016 :
Le dossier complet doit être adressé, par courriel, au plus tard le 2 mars 2016.
Les candidats retenus seront affectés en septembre 2016.

Voir sur le site du CNRS (INSHS) :
http://www.cnrs.fr/inshs/relations-internationales/centres-francais-etranger/procedures-mobilite.htm

AAC – Transformation, dégradation, perte des objets scientifiques

ISS FSV UK

Le centre d’histoire et de théorie de la sociologie (Institut d’études sociologiques, Université Charles de Prague et le CEFRES vous invitent à participer à la journée d’étude :

Transformation, dégradation, perte des objets scientifiques

qui aura lieu le 21 octobre 2015 (14h-18h) à l’Institut d’études sociologiques de la Faculté des sciences sociales (Campus Jinonice).

Depuis près d’un demi-siècle, l’histoire des sciences s’est affranchie du schème d’un progrès linéaire qui mènerait les hommes de science de découverte en découverte. Ainsi, au moment de leur introduction dans le discours scientifique, les concepts de paradigme et de révolution scientifique, tout comme celui d’épistémè, par exemple, ont témoigné de la nouvelle attention portée aux ruptures qui affectent l’histoire des savoirs. Or, à l’encontre des « inventions », des « constructions » ou des « généalogies » qui figurent aujourd’hui encore au cœur de la plupart des travaux, et donc contre la préférence ainsi manifestée pour le versant « constructif » de l’histoire, nous souhaitons attirer l’attention sur un phénomène moins abordé, pour ne pas dire négligé, celui des « disparitions ».

Disparition n’est pas absence. Autrement dit on peut poser un certain nombre de questions relatives à la disparition des objets de savoir qui se manifestent dans l’histoire des disciplines : comment le savoir abandonne-t-il ses objets et que devient « le site » qui leur donnait consistance, à savoir les solutions aux problèmes et les questions dont ils étaient les témoins? Quelles traces les objets scientifiques eux-mêmes laissent-ils et quels retours opèrent-ils éventuellement? Existe-t-il une logique de la disparition qui renvoie à la structure du réel lui-même? Ces questions revêtent peut-être une importance particulière pour des disciplines dans lesquelles les grandes ruptures et les révolutions scientifiques sont difficiles à repérer, comme c’est le cas pour les sciences sociales.

Le Centre d’histoire et de théorie de la sociologie (Faculté des sciences sociales de l’Université Charles, Prague), en collaboration avec le Centre français de la recherche en sciences sociales (CEFRES), propose aux chercheurs en philosophie, mais également à ceux qui sont issus de toutes les disciplines des sciences sociales, une journée d’étude consacrée à ce thème.

Nous invitons les auteurs à soumettre des propositions d’intervention (30 minutes maximum) sous forme d’un court résumé, envoyé à l’attention de M. Jan Marsalek avant le 11 octobre 2016. Contact : jan.marsalek@fsv.cuni.cz.

Accueil de chercheurs étrangers : programmes de la Ville de Paris

Depuis 2003, la Ville de Paris a proposé un programme sélectif d’accueil de chercheurs étrangers dans des laboratoires publics de recherche parisiens situés dans Paris intra-muros pour une période limitée. Le programme a été substantiellement modifié en 2015. Il est désormais destiné à des post-doctorants uniquement. De plus, les dossiers doivent être adressés par les laboratoires d’accueil.

Voir les modalités du programme sur le site de la Ville de Paris et les résultats de la campagne 2015.

 

Bourses de recherche de la Ville de Paris sur la xénophobie et l’antisémitisme

La Ville de Paris a créé deux bourses de recherche sur la xénophobie et l’antisémitisme. D’un montant de 15 000€ chacune, elles sont décernées chaque année à un-e candidat-e français-e et un-e candidat-e étranger-e s’étant distingué-e par la qualité de son projet de recherche.

Voir les conditions et les formulaires de candidature sur le site de la Ville de Paris.

En 2015, la date limite de dépôt des candidatures est le 1er octobre.