Archives de catégorie : Appels à contributions

Les normes de l’écriture scientifique en discussion

Dates et lieu : 23-24 mai 2018, Prague
Date-limite d’envoi des propositions : 2 avril 2018
Organisateur : Julien Wacquez (EHESS, CESPRA, CEFRES)
Organisations partenaires: CEFRES, Institut de philosophie de l’Académie tchèque des sciences, EHESS, Université Charles
Langue : anglais

La journée est ouverte à des jeunes chercheurs (doctorat et post-doctorat) issus de diverses disciplines anglophones de France et des pays de Višegrad ainsi qu’à l’équipe du CEFRES. Merci d’envoyer votre proposition de communication assortie d’un titre (environ 300 mots) et un bref CV à Julien Wacquez : julien.wacquez@cefres.cz

Notre atelier se déroulera en deux jours : Continuer la lecture de Les normes de l’écriture scientifique en discussion

Quand tous les chemins menaient à Paris. Les échanges artistiques entre la France et l’Europe médiane au cours du XIXe siècle

Date limite d’envoi des propositions : 18 mars 2018
Organisatrices : Kristýna Hochmuth (UDU FF UK, NG) et Adéla Klinerová (CEFRES / ÚDU FF UK & EPHE)
Partenaires : CEFRES, ÚDU FF UK, ÚDU AV ČR, NG
Dates et lieu : 26-27 juin 2018, AV ČR, Národní 1009/3, Prague 1, salle 205
Langues : français, anglais

Aspects pratiques

La présente journée d’étude organisée par le CEFRES, l’Institut d’Histoire de l’Art de la Faculté des Lettres de l’Université Charles (ÚDU FF UK), la Galerie nationale de Prague (NG) et l’Institut d’Histoire de l’Art de l’Académie des sciences de la République tchèque (ÚDU AV ČR) est destinée aux doctorants, post-doctorants et jeunes chercheurs. Les échanges seront ouverts par une conférence inaugurale du professeur  Marek Zgórniak (Institut de l’Histoire de l’Art, Université Jagellonne, Cracovie)  et se prolongeront au cours d’un programme complémentaire destiné aux participants actifs et ouvert au public. Les communications n’excéderont pas 25 minutes et seront suivies de discussions.

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Voltaire, du Rhin au Danube (XVIIIe-XIXe siècles)

Journées Voltaire

Date-limite pour l’envoi des propositions : 20 février 2018
Organisateur : Guillaume Métayer (CELLF – CNRS)
Partenaires : CELLF (UMR 8599), Société des Études Voltairiennes, CEFRES, CERCLL (Université Jules Verne de Picardie)
Dates et lieu : 22-23 juin 2018, Université Paris-Sorbonne
Langue : français, interventions en anglais possibles
Contact : gme.metayer@gmail.com

Argumentaire

S’il est un écrivain et philosophe français des Lumières qui a entretenu d’intenses relations avec le monde germanique, c’est bien Voltaire. Outre ses nombreux séjours en Allemagne, et son célèbre appointement à la cour de Prusse auprès de Frédéric II, Voltaire a fréquenté Gotha, ou encore Aix-la-Chapelle. Surtout, de ses visites et relations et, plus encore, de ses lectures, sont nées de nombreuses œuvres de genres divers, parmi lesquelles la plus célèbre, Candide (1759), ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. Par-delà cette fameuse Westphalie de fantaisie et de philosophie, L’Essai sur les Mœurs (1756) consacre des chapitres essentiels à cette histoire, dont Voltaire a donné ailleurs, à la demande de la duchesse de Saxe-Gotha, une autre version, plus détaillée : Les Annales de l’Empire (1753). L’Histoire de la guerre de 1741 (fondue et réaménagée dans le Précis du Siècle de Louis XV) ménage également une grande place à cet ensemble politique et culturel aux frontières mouvantes. Des questions aussi essentielles que la lutte du pouvoir temporel et spirituel, notamment entre la papauté et le Saint-Empire, la problématique de la Réforme et plus généralement de l’identité religieuse et politique de l’Europe sont donc placées au cœur de ses réflexions et de son travail d’historien.

Pourtant, l’intensité de l’intérêt de Voltaire pour l’Allemagne est lestée d’une ambiguïté et d’une ambivalence profondes : elle concerne avant tout la politique, l’histoire de l’Empire et l’espoir tout contemporain et tourné vers l’avenir de l’avènement d’un « roi philosophe » à Berlin, au détriment de la littérature, la langue ou les arts allemands, qu’il tient en piètre estime et raille volontiers. Or, à ce déséquilibre répond certainement à la fois la richesse et la nature souvent polémique de la réception de Voltaire dans le monde germanique : après une période où dominent ses imitateurs, Voltaire est devenu, à de rares exceptions près et sans négliger les nuances (Schiller, Goethe, Heine), la cible privilégiée du renouveau littéraire et philosophique allemand. Avant même le romantisme, Lessing avait donné le ton d’une tradition critique acharnée dont August Wilhelm Schlegel reprit le cinglant héritage. Il faut, semble-t-il, attendre les années 1870 pour qu’autour de David Friedrich Strauss, Dubois-Reymond, et surtout Nietzsche, la figure de Voltaire se transforme et redevienne, dans cette aire culturelle, une grande référence des Lumières européennes.

C’est cette interaction, dans le temps, entre la perception du monde germanique chez Voltaire et la réception allemande et centre-européenne de l’écrivain philosophe, dont ces Journées, quarante ans après le colloque de Mannheim*, souhaiteraient rouvrir le chantier, en s’appuyant tant sur les études de réception, de diffusion, de traduction, que sur des monographies séminales, en dialectisant, autant que possible, les deux pans de cette Wechselwirkung herméneutique. Le cas des possessions de l’Autriche (la Hongrie, la Galicie, etc.) pourra être également abordé.

* Voltaire und Deutschland. Quellen und Untersuchungen zur Rezeption der Französischen Aufklärung. Internationales Kolloquium der Universität Mannheim zum 200. Todestag Voltaires [Mannheim, 1978], Stuttgart 1979.

AAC – (In)Capacité, santé et handicap dans les sciences humaines et sociales

Journée d’étude interdisciplinaire

Organisateurs: Kateřina Kolářová (Faculté des Humanités, Université Charles, Prague – FHS UK), Martina Winkler (Christian-Albrechts-Universität, Kiel), Filip Herza (FHS UK / CEFRES), Kamila Šimandlová (FHS UK)
Quand
: 17-2-2018
: Akademické Centrum, Husova 4a, Prague 1
Langue: tchèque
Date limite d’envoi des propositions : 20-12-2017

Conceptualiser la santé et la maladie, la précarité biologique, les formes de stigmatisation, le handicap et les discriminations a fait l’objet d’importants débats au sein des sciences humaines et sociales. Continuer la lecture de AAC – (In)Capacité, santé et handicap dans les sciences humaines et sociales

AAC : Penser en paroles : la philosophie à la loupe de ses manuscrits et archives

Penser en paroles : la philosophie à la loupe de ses manuscrits et archives – méthodologies, histoire(s) et horizons

Organisatrice : Benedetta Zaccarello, CEFRES (CNRS-MEAE)
Dates et lieu : 7-9 juin 2018, Prague
Date-limite des candidatures : 21 janvier 2018
Langue : anglais
Partenaires : ITEM, IMEC, Archives Patočka (Académie tchèque des sciences), FHS UK

Merci d’adresser vos propositions (titre et argumentaire de 300 mots) et notices bio-bibliographiques à l’adresse suivantebenedetta.zaccarello@cefres.cz

La philosophie s’écrit, se pratique, se vit : elle est la traduction de l’expérience d’une subjectivité pensante dans un alphabet conceptuel et dans un tissu verbal. Le « je » de la philosophie est une chimère dont la tête effleure les hauteurs des concepts abstraits et des discours universels, tandis que le corps baigne dans cette expérience vécue qui seule peut mettre à l’épreuve la volonté de dire ce qui, depuis Kant au moins, ambitionne d’être valable pour chacun. À la charnière entre ces deux règnes, convoqués par l’effort de la spéculation, se situe la matière verbale dont le sens ne peut à son tour être déterminé qu’en relation aux contextes, aux pratiques d’écriture et de lecture qui la régissent, aux horizons de sens et aux même cibles polémiques qui ont marqué et marquent toute énonciation philosophique. De même, la spécificité de chaque écriture théorique est à la fois condition nécessaire pour que la discipline continue de vivre en se rénovant et transcendant ses propres catégories, et l’aspect le plus subjectif et personnel d’un travail qui vise traditionnellement le « neutre » de l’abstraction.

La « fabrique du texte » philosophique, comprise aussi bien comme son ancrage dans des dispositifs culturels et dans des facteurs sociétaires contingents, se heurte à une idée de la discipline qui pense son histoire comme liée à une suite de trouvailles abstraites, et d’intuitions novatrices échelonnant l’évolution de notre manière de penser. Le philosophe qui écrit est le premier à avoir tendance à effacer ce jeu complexe de négociations, entre existence et théorie, entre innovation conceptuelle et partage terminologique héritant d’une tradition séculaire, alors que manifestement les dynamiques de la production et de la réception philosophiques sont un objet complexe dont un des enjeux cruciaux se trouve dans la nature scripturale du phénomène.

Comme Derrida le rappelle en lisant Valéry, ce dernier aspect du métier du philosophe fait l’objet d’un oubli systématique et presque physiologique dans la manière dont nous nous représentons les ambitions de la discipline. Des frontières fortes semblent traverser des domaines qui sont facilement perçus comme divergents voire incompatibles entre eux : philosophie et littérature sont souvent considérées comme des sœurs ennemies, et leurs horizons respectifs ne prennent pas facilement en compte certains éléments qui se révèlent nécessaires pour comprendre — d’un point de vue dynamique et historico-culturel — la production de la prose théorique. Pareillement, et contrairement aux usages de l’âge romantique par exemple, il est rare que le métier intellectuel conjugue philologie et philosophie.

Pour toutes ces raisons, le manuscrit de philosophie est un objet étrange, auquel on a commencé à une époque assez récente d’attribuer une véritable valeur. Cependant, en Europe surtout, la création d’importantes archives réunissant de corpus philosophiques majeurs – tels Nietzsche, Benjamin ou Kierkegaard – a pérennisé la mémoire de l’écriture philosophique et permis à ces « arches » de traverser le temps en l’attente du moment où, notamment grâce au développement de nouveaux outils numériques, ces matériaux auraient pu trouver l’attention qu’ils méritaient. Le terrain de l’édition de manuscrits philosophiques apprend beaucoup sur l’importance des informations que ces supports sont susceptibles de donner, au-delà même des textes véhiculés par ces documents. Ce qui anime et structure le geste herméneutique fondé sur le travail sur manuscrits est une ontologie différente. À partir d’une telle perspective, l’évolution d’une écriture théorique devient une aventure vivante et spécifique, alors que l’histoire de la discipline peut être perçue comme un processus dynamique, pluridimensionnel et choral à la fois. Cependant, tous les documents d’archives, véritables traces d’autant de pratiques de la discipline disparates et peu connues, ne se prêtent pas à la « forme-livre » et restent par là cachés aux regards du public, alors qu’il est indéniable que l’accès aux archives permet souvent de comprendre l’allure, la méthode, la démarche et même les sources, les cibles critiques, les allusions que la publication a tendance à normaliser, à gommer, à estomper.

Souvent ce ne sont que les spécialistes travaillant à l’édition critique des œuvres d’un écrivain-penseur, ou encore les conservateurs en charge d’un fonds spécifique, qui sont amenés à développer une connaissance véritable d’un tel type de matériaux, car le travail sur manuscrits impose un temps lent de travail souvent incompatible avec les rythmes de la recherche et de la production intellectuelle. De ce fait, la créativité exprimée par les chercheurs dans la mise au point d’outils pensées ad hoc pour l’édition ou l’exégèse des manuscrits appartenant souvent à un seul un corpus philosophique n’a pas encore pu être mise en valeur à travers une approche comparative et visant à l’établissement de principes méthodologiques communs. Si la critique génétique a développée à partir des années 1970 un outillage important et une méthode philologique spécifique pour les manuscrits d’auteur, peu a été fait dans l’élaboration de lignes d’orientation dans le traitement des archives philosophiques.

Ce colloque vise ainsi à établir un dialogue entre spécialistes en provenance de différents pays et continents et ayant travaillé à des corpus différents de sorte à esquisser de premières lignes méthodologique et à établir un réseau collaboratif prêt à continuer dans ce travail de friche. La publication des actes du colloque fournira ainsi une première publication et la constitution d’un consortium de recherche en ce sens.
De plus, en portant à la lumière l’histoire de plusieurs archives philosophiques et leur ancrage dans l’histoire des hommes tout court, nous espérons valoriser ce genre de lieux en tant que sources de savoir et d’apprentissage sur le terrain, en même temps que sensibiliser à l’apport de ce genre de matériaux pour une différente approche à l’histoire et à l’exégèse de la théorie.

Les travaux seront articulés en quatre sections :

1 – Histoire(s) d’archives. Ce volet vise à recueillir des contributions concernant l’histoire de la création d’archives philosophiques ou de leur vies, en soulignant par là l’ancrage de ces institutions dans le paysage culturel et social de leur temps. En « contre-champs » ce même volet cherche à réunir des considérations sur l’idée d’histoire de la philosophie dégagée par le travail sur manuscrits.

2 – Conservation et édition. Ce deuxième volet du colloque a comme ambition de recueillir de témoignage de professionnels ayant travaillé à la conservation et/ou ) l’édition de manuscrits de philosophie pour mieux comprendre les difficultés relatives aux spécificités de chaque écriture théorique et la manière dont ces mêmes ont été affrontées. De même, nous traiterons en ce volet des questions liées à la numérisation des fonds théoriques et à l’intelligibilité de ses produits. Nous espérons recueillir un certain nombre de cas exemplaires ouvrant également à la session suivante du colloque.

3 – Editions et exégèses : approches et méthodologies. Ce volet du colloque vise à ouvrir des perspectives méthodologiques communes à partir de l’observation de plusieurs corpus de philosophe et sera articulé en une suite de contributions et en une table ronde de partage. Nous essayerons par là d’esquisser des lignes d’orientation pour le travail sur manuscrit philosophique, qu’il s’agisse d’édition ou d’exégèse.

4 – Les archives de la théorie. Cette dernière section du colloque aspire à recueillir des contributions concernant des corpus théoriques mais non proprement philosophiques tels la théorie littéraire, l’histoire de l’art, des sciences, la sémiotique… Par là nous espérons dégager des spécificités de ce genre de documents dans leur relation aux matériaux spécifiquement philosophiques.

AAC: (Trans)missions: les monastères comme lieux de transferts culturels

Une journée d’étude internationale organisée par le Centre d’Études ibéro-américaines de la Faculté des lettres de l’Université Charles (SIAS FF UK), le CEFRES et l’Institut d’histoire de l’art de l’Académie des Sciences de République tchèque (ÚDU AV ČR). La coopération est réalisée dans le cadre du projet de recherche « Cataloging and study of the translations of Spanish and Ibero-American Dominicans ».

Date-limite des propositions (250 mots) : 26 juin 2017
Sélection des participants : 31 juillet 2017
Date & lieu : 25(-26) septembre 2017, Prague
Organisatrices : Monika Brenišínová (SIAS FF UK), Lenka Panušková (ÚDU AV ČR) et Katalin Pataki (CEU/CEFRES)

Le but de cette journée d’étude est de porter l’attention sur l’espace monastique comme objet de recherche multiple dans une perspective globale et interdisciplinaire. Nous invitons des propositions qui s’interrogent sur les façons dont les institutions monastiques ont contribué aux flux et aux échanges de pratiques culturelles et sur la façon dont leur rôle de médiateurs culturels ont façonné leur propre culture matérielle et leur politique territoriale. Nous n’appliquons aucune restriction sur les époques, espaces ou confessions concernées afin de générer un dialogue entre des chercheurs issus de diverses formations disciplinaires.

Pendant des siècles les monastères ont servi de centres d’éducation et de culture. Des œuvres littéraires, des sermons, des traductions et des objets culturels ont été produits entre leurs murs, dont l’usage n’a jamais été voué à l’isolement hermétique du monde extérieur : ils révèlent bien plutôt une politique consciente de structuration de l’espace physique et mental. Les monastères ont gardé des contacts non seulement avec leur environnement immédiat mais se sont également intégrés dans des réseaux intellectuels, spirituels et économiques plus larges tout en interagissant avec divers acteurs de l’ordre séculaire. Ils ont pu tenir lieu de bastions pour les missions culturelles et religieuses qui pénétraient les nouveaux territoires, suscité des interactions interculturelles et interconfessionnelles et facilité les transferts de savoir tandis que leur présence longue sur un territoire pouvait garantir une continuité — ce qui permet d’enquêter sur les changements, réformes et renouveaux qui les impliquent sur la longue durée. Leurs évolutions et transformations ont immanquablement modelé à la fois leurs espaces intérieurs (incluant la culture matérielle et l’architecture) et le paysage environnant ; ainsi, ils ont également contribué à la cristallisation de notions telles que l’identité, les frontières et la migration.

C’est dans ce cadre que nous invitons des propositions sur les champs thématiques suivants :

  • les ordres religieux comme acteurs de la construction de la discipline sociale ; des confessions ; de la colonisation ; des missions culturelles, religieuses et politiques ; des réformes ecclésiastiques et sociales, etc.
  • les monastères comme médiateurs dans la circulation des idées, des biens matériels (objets, reliques, matériaux précieux, drogues médicinales, etc.) ou des pratiques de dévotion, d’éducation, de soins
  • la politique territoriale des institutions monastiques ayant modelé physiquement leur environnement immédiat (i.e., les pratiques agricoles, l’établissement de paroisses, de chapelles, de sanctuaires, etc.) et la perception du paysage dans lequel elles opéraient.

Cette journée d’étude est destinée en priorité aux jeunes chercheurs — doctorants et post-doctorants — désireux d’explorer des perspectives de recherche liées aux thèmes sus-mentionnés par des approches innovantes et de jeter les bases d’une coopération par-delà les barrières nationales et disciplinaires. En même temps, nous souhaitons créer un forum accueillant des spécialistes reconnus de ces questions et circulant des informations sur les projets de recherche en cours, les groupes de recherche académiques et les publications pertinentes.
Les articles tirés des communications pourront être publiés dans la revue académique Ibero-Americana Pragensia. La langue de communication de la journée d’étude sera l’anglais mais les présentations des communications soumises dans d’autres langages (allemand, français, espagnol) peuvent être acceptées.

Pour participer à la journée, merci de nous faire parvenir votre nom, affiliation institutionnelle et une proposition de communication de 250 mots d’ici le 26 juin à l’adresse e-mail suivante : workshopSIASCEFRES@gmail.com. Les candidats seront informés des résultats au 31 juillet.