Où : SAS Congress Centre, Château de Smolenice, Slovaquie
Comité d’organisation : T. Podolinská, G. Kiliánová, M. Vrzgulová, K. Popelková (Bratislava), Z. Uherek (Prague), G. Bárna (Szeged), T. Smolińska (Opole), C. Royer (CEFRES, Prague)
Voir le programme complet sur le site de l’Institut d’ethnologie de l’Académie slovaque des sciences
Sessions :
Thematic and methodological challenges in current ethnology and anthropology
Applied anthropology – How to cope with current social and societal challenges? (migrants, poverty, unemployment, the ageing of Europe, marginalised communities, intercultural communication)
Ritual as a social practice in present-day society (private and public celebrating as a form of establishing personal or group/nation/state identity
Communication and memory: inter-generational transfer (focus on shifting sets of values and behaviours – generation-based focus)
Rumours and their functions in relationships between groups
Cultural heritage
Young Scientist Forum (PhD students´ poster presentation)
V4-Networking Panel (presentation of the recent research of all partners and creating a new platform for further cooperation and networking)
Une conférence de Zdenko Maršálek (ÚSD, AV ČR) dans le cadre du séminaire d’histoire moderne des Juifs de l’Institut d’histoire contemporaine de l’AV ČR et le CEFRES en partenariat avec le Musée juif de Prague.
Les unités étrangères de l’Armée tchécoslovaque opérant durant la Deuxième Guerre mondiale accueillaient non seulement des Tchèques et des Slovaques mais aussi des ressortissants de toutes les nationalités qui composaient la République tchécoslovaque entre les deux guerres. Des volontaires juifs en particulier entrèrent en grand nombre dans les troupes en exil. Bien qu’à certains moments les soldats juifs aient été fortement représentés dans ces unités, pour diverses raisons, leur apport devint margnial par la suite. Cette contribution établira une analyse quantitative du phénomène pour se concentrer néanmoins aussi sur les problèmes soulevés par la coexistence de soldats de différentes nationalités, confessions et origines.
Une conférence de Gábor Egry (Institut d’histoire – Académie hongroise des sciences)
Discutant : Rudolf Kučera (Institut Masaryk – AV ČR)
Où : Na Florenci 3, bâtiment C, 3e étage, salle de conférence
La fin de la Première Guerre mondiale a conduit à des développements similaires dans toute l’Europe du Centre-Est : l’écroulement des empires et l’émergence d’États-nations. Mais derrière la façade de transformations apparemment uniformes et la tendance à la nationalisation dans les nouveaux États, les sociétés locales et les micro-régions étaient parfois moins limitées dans leur influence sur les conditions spécifiques de transition que ce qu’on considère habituellement dans le cadre du récit dominant sur la chute des empires et la création des États-nations. Le passé impérial n’a pas disparu sans laisser de trace ; de plus, les nouvelles entités agissaient souvent comme de « mini-empires » reprenant ou conservant des acteurs, des méthodes et des structures de la gestion impériale du pouvoir et de la population.
Comparer des études de cas de la transition au niveau local permet un aperçu des contextes locaux, de la manière dont différentes constellations sociales locales, des préhistoires impériales, ont aidé certains groupes à négocier leur position dans les nouveaux États. Si certaines pratiques, habitudes ou institutions furent maintenues et souvent employées pour coopter les nouvelles élites dans le cercle des anciennes, certaines figures particulières de l’époque impériale parvinrent à se déplacer de manière fluide entre les États successeurs, et des changements sociaux de large portée affectèrent l’équilibre général et conférèrent de l’agency à des groupes jusqu’alors désavantagés. Dans ma conférence, je désignerai les plus importants facteurs régissant les différents types de transition et montrerai comment les individus se sont situés dans le nouveau monde des États-nations.
Une conférence du Professor Yaacov Ro’i (Université de Tel Aviv)
Lieu : Bibliothèque du CEFRES – Na Florenci 3 Langue : anglais
Le professeur Yaacov Ro’i du Cummings Center for Russian and East European Studies à l’université de Tel Aviv est un grand spécialiste de l’histoire des Juifs en Union soviétique. Ses publications récentes incluent toutefois également des ouvrages sur l’histoire de l’Islam dans l’Union soviétique de l’après-guerre.
La conférence sera suivie d’un atelier au cours duquel Kamil Kijek, Kateřina Čapková et Stephan Stach présenteront leurs projets sur l’histoire des Juifs en Pologne et en Tchécoslovaquie. Leurs textes seront discutés par le professeur Ro’i.
Pour participer à l’atelier, merci d’écrire à Kateřina Čapková : capkova@usd.cas.cz
Une manifestation co-organisée par l’Institut d’histoire contemporaine de l’Académie des sciences de République tchèque et le CEFRES.
L’équipe des jeunes chercheurs du CEFRES se réunit une dernière fois avant les vacances d’été pour discuter leurs travaux.
Où : Národní 18, salle de conférence du 7e étage
9h45-10h20 Giuseppe Bianco: From Paris to Prague and Back (1900-1937). The International Conferences of Philosophy Before and After World War I
10h20-10h55 Lara Bonneau: Light At the End of the Tunnel – On Aby Warburg’s Method
Pause café
11h10-11h45 Edita Wolf: Iudicium Between Concept and Metaphor
11h45-12h20 Monika Brenišínová: The (16th Century Mexico) Architecture of Conversion. Problems and Responses
12h20-12h55 Perin Emel Yavuz: Elsewhere Right Here. The Non-Offical Artists’ Art of Worldmaking in Bratislava, 1960-80
Pause déjeuner
14h30-14h55 István Pál Ádám: Budapest Concierges in Changing Times
14h55-15h30 Mátyás Erdélyi: The Case Study as a Methodological Tool in Habsburg History
Coffee Break
15h55-16h30 Jana Vargovčíková: Defining Legitimate Actors and Practices: What the Institutionalization of Lobbying Tells Us About Governance
16h30-17h05 Filip Vostal: Challenging the Culture of Slowness
Centre français de recherche en sciences sociales – Prague