AAC : La photographie ouvrière au musée. Histoire et politique d’un patrimoine en Europe centrale

Colloque international

Date et lieu : 27 février 2020, Prague
Date limite d’envoi des propositions : 15 novembre 2019
Organisateurs : Institut d’histoire de l’art de l’Académie tchèque des sciences et le CEFRES
Organisé en collaboration avec : Institut d’histoire contemporaine (AV ČR) et Université Paris-Nanterre
Langue : anglais

Le mouvement de photographie activiste de gauche qui s’est épanoui dans l’Europe centrale de l’entre-deux-guerres a généré une masse d’images documentaires dont on peine encore aujourd’hui à mesurer l’ampleur. Conçues comme un instrument de dénonciation des inégalités sociales, comme une “arme de classe” selon l’argument de propagande communiste, ces photographies dépeignaient les conditions de vie, le travail, les loisirs et l’activité politique des travailleurs. Cette photographie – alternativement qualifiée de sociale, prolétaire ou ouvrière par ses acteurs – avait vocation à fournir la presse d’extrême-gauche en images, afin d’offrir une alternative à la presse illustrée « bourgeoise ». C’est pourquoi certaines épreuves ont rejoint les fonds iconographiques de journaux, d’iconothèques, tandis que d’autres sont restées entre les mains de leurs auteurs.

L’occupation nazie en Europe a conduit les communistes à détruire ou cacher leurs archives : en Allemagne, le fonds iconographique du journal Arbeiter Illustrierte Zeitung, en France les archives du magazine Regards, et dans de nombreuses villes de Tchécoslovaquie, de Hongrie, de Pologne, de nombreux fonds d’agences ou d’organisation de gauche ont fait disparaître ce matériau jugé compromettant. Mais après la Seconde Guerre mondiale, certaines de ces images ont réapparu et ont connu une seconde vie. Certaines ont été transférées dans les fonds documentaires des musées du mouvement ouvrier qui ont fait florès dans les pays du bloc de l’Est durant les années 1950. D’autres se sont retrouvées dans les collections photographiques des musées d’art fondées à partir des années 1970. D’images de l’actualité, ces épreuves se sont alors muées en documents historiques ou en œuvres d’art; d’éphéméra, de représentations reproductibles à l’envi, elles sont devenues des objets culturels à part entière. Aujourd’hui ce matériau visuel pose de nouveaux défis liés au statut des images, aux modes de conservations et aux usages idéologiques du passé.

L’objectif de ce workshop sera d’examiner le devenir institutionnel, muséographique et historiographique de la photographie sociale en Europe centrale de 1945 jusqu’à nos jours. Nous espérons ainsi engager la réflexion d’une part sur les usages historiques de cette production et leur patrimonialisation après 1945, et d’autre part sur la gestion actuelle de sa mémoire dans les musées d’Europe centrale.

Le workshop fait partie des rencontres internationales et interdisciplinaires organisées par le Centre de Recherche en Photographie à l’Institut d’Histoire de l’Art de l’Académie des Sciences de République tchèque (https://www.udu.cas.cz/en/photography-research-centre/). Fondé en 2018, ce Centre a pour ambition de devenir une plateforme unique de la recherche interdisciplinaire en République tchèque, et a pour objectif de surmonter les approches nationales, sectorielles et mono-institutionnelles de la photographie et de l’histoire de la photographie en Europe centrale.

Axes de réflexion :

  • Quelles stratégies de patrimonialisation et d’historisation ont guidé le transfert de ces images vers les collections des musées du mouvement ouvrier ? Dans quel contexte s’inscrivaient-elles (commémoration, célébration, dénonciation) ? À quels acteurs les doit-on ?
  • Quels protocoles de conservation, de classement et d’indexation ont été mis en place quand ces photographies ont rejoint les collections des musées ?
  • Sous quelle forme ces photographies ont-elles été exposées ? Comment ont-elles été mises en espace ?
  • Quels usages politiques, idéologiques et culturelles de la photographie ouvrière dans les musées ?
  • Questions d’historiographie : l’utilisation des photographies ouvrières dans les discours officiels ou les histoires de la photographie ouvrière, qu’elles soient locales ou transnationales.
  • Quels pouvoirs (d’immédiateté, de contestation, d’attestation) et quelles valeurs (artistique, documentaire, historique) ces photographies ont-elles perdu ou au contraire gagné lors de leur transfert ?
  • Quels passages du privé au public, de l’album à la cimaise, de l’argentique à l’imprimé, voir au numérique peut-on observer ?
  • Échanges internationaux entre institutions et circulation des photographies.
  • Études comparatives sur les collections de photographies ouvrières dans les musées d’Europe centrale et orientale après 1945.

L’appel s’adresse aux chercheurs, conservateurs, archivistes et responsables de collection travaillant sur les questions de conservation, collection, exposition, et d’historiographie de la photographie ouvrière dans les musées d’Europe centrale et orientale après 1945.

Date limite pour le dépôt des candidatures : 15 novembre 2019

Propositions de contributions : résumé de 300 mots maximum pour un exposé en anglais d’environ 20 minutes, ainsi qu’une courte biographie (environ 150 mots) sont à envoyer à Fedora Parkmann (parkmann@udu.cas.cz).

Défraiement des participants : Une aide financière pour couvrir le coût du transport et du logement peut être offerte aux participants qui ne sont pas capables d’assurer un financement de la part de leurs établissements respectifs.

Le workshop se déroulera à Prague le 27 février 2020 au CEFRES (Centre français de Recherches en Sciences humaines et sociales) et sera dispensé en anglais.

Organisation

  • Fedora Parkmann (Institut d’histoire de l’art, Académie tchèque des sciences / CEFRES)
  • Christian Joschke (Université Paris-Nanterre, Paris) – collaboration scientifique

Comité scientifique

  • Jérôme Heurtaux (CEFRES)
  • Petr Roubal (Institut d’histoire contemporaine, Académie tchèque des sciences)
  • Petra Trnková (Photographic History Research Centre, De Montfort University, Leicester / Centre de Recherche en Photographie, Institut d’histoire de l’art, Académie tchèque des sciences)

AAC : Espoirs et desillusions post-revolutionnaires

Espoirs et désillusions post-révolutionnaires. Interpréter, promouvoir et discréditer les révolutions.

Colloque international – Workshop d’étudiants en Doctorat et Master

Date : 6 et 7 décembre 2019
Lieu
: Prague
Date limite d’envoi des propositions : 30 octobre 2019
Organisateurs : CEFRES, Faculté des lettres de l’Université Charles, Faculté des sciences sociales de l’Université Charles, Institut d’histoire contemporaine de l’Académie tchèque des sciences et le projet ERC « Tarica« 
Organisé en collaboration avec : l’Institut français de Prague, le Centre de civilisation française et d’études francophones (CCFEF) de l’Université de Varsovie, le Centre de civilisation polonaise de Sorbonne Université, le Centre scientifique de l’Académie polonaise des sciences à Paris, l’UMR LADYSS (CNRS-Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et l’Institut polonais de Prague
Langue : anglais

Dans le cadre de la conférence internationale « Espoirs et désillusions post-révolutionnaires. Interpréter, promouvoir et disqualifier les révolutions », une session particulière est organisée à l’adresse des étudiants en Doctorat ou Master. L’objectif sera de débattre des problématiques et perceptions des situations post-révolutionnaires en Europe centrale et orientale, mais aussi ailleurs. Cette séance se déroulera en plus d’une discussion académique ainsi que d’une séance de débat public sur le sujet.

Important symbole, l’année 2019 est un moment commémoratif primordial en Europe. En effet, marquant les trente ans de la chute des régimes communistes dans les pays d’Europe centrale et de l’Est ainsi que la quinzième année de leur intégration dans l’Union européenne, cette année anniversaire suscite des initiatives politiques, mémorielles et universitaires à travers l’Europe. En un sens, ces interventions cristallisent incontestablement les tensions et controverses qui existent autour des interprétations de « l’événement 1989 », tout comme cela permet de renouveler les analyses existantes concernant les transformations des pays de la région depuis la Révolution de Velours.

Les pays post-communistes présentent aujourd’hui des paysages politiques contrastés. Certes, dans un contexte européen d’universalisation du libéralisme, la démocratie et l’État de droit se sont partout imposés. Néanmoins, certaines sociétés font face à des bouleversements souvent qualifiés d’illibéraux, autoritaires, populistes, ou encore de « révolutions conservatrices ».

Les travaux effectués sur ces sociétés, grâce à des méthodes d’enquête et d’analyse éprouvées, nous invitent ainsi à examiner à nouveau frais « l’événement 1989 », qui demeure un moment clef de notre histoire contemporaine, de même que les transformations intervenues dans les pays d’Europe centrale et dans l’Union européenne.

Ce trentième anniversaire est l’occasion de penser les expériences révolutionnaires et les changements de régime dans des contextes historiques variés. Cette conférence se donne en effet pour objectif d’ouvrir de nouvelles perspectives sur la transformation des régimes politiques et sur les transitions démocratiques. L’Europe post-communiste sera au centre de notre intérêt, de même que le monde arabe ayant connu les mouvements révolutionnaires de 2011 ou encore les pays de l’Afrique sub-saharienne en transition politique. Nous proposons donc pour la première fois de considérer ces révolutions dans une analyse comparative sans hiérarchiser ces mouvements selon s’ils ont abouti ou échoué.

Nous questionnerons la « révolution » comme faisant l’objet d’investissements contradictoires de la part d’une variété d’acteurs et analyserons les multiples interprétations dont elle a fait l’objet : de sa promotion à sa sublimation ou au contraire sa disqualification voire son rejet catégorique.

Les expressions de désillusion qui accompagnent les épisodes révolutionnaires sont loin d’être rares. Il pourrait s’agir d’une règle, si règle il y a en matière de révolution. Presque toujours apparaît un discours de la déception, quelle que soit la trajectoire du changement de régime. Il naît des reculs marqués par les acteurs politiques, des recyclages du régime précédent, des mouvements contre-révolutionnaires et de l’absence de changements sociaux prégnants ou simplement parce que les espoirs portés par la révolution ne se traduisent pas par des actes politiques. Bien que l’espace public soit rempli de ces expressions de déception, jusqu’ici elles ont été très peu prises pour objet par la recherche.

Plusieurs questions justifient pleinement une approche comparative :

I. Décrire et représenter les espoirs et les déceptions

  • Les expressions d’espoirs, d’attentes, de déception de désenchantement et de désillusion sont multiples : discursives, politiques, aussi bien qu’artistiques, littéraires ou cinématographiques. Quelles formes prennent-elles en contexte centre-européen, arabe ou africain ? Quels sont leurs registres lexicaux et moraux ?
  • Quelles formes prend la désillusion qui suit le « retour de l’ancien régime » ? Ce retour est-il un fait objectif ou simplement perçu comme tel ?
  • Quel est l’impact de la persistance des inégalités sociales, du manque de réformes économiques, de la disparition de la souveraineté ?
  • Quels individus, professionnels et groupes sociaux expriment davantage leurs espoirs et lesquels leurs déceptions ? Les expriment-ils individuellement ou collectivement ?
  • Quelles sont les temporalités des déceptions post-révolutionnaires ? Sont-elles exprimées immédiatement ou de manière différée ?
  • Toutes les déceptions sont-elles exprimées ?

II – Compréhension et explication des espoirs et des déceptions

  • Il va sans dire que l’expression des espoirs et des déceptions n’est pas une simple affaire de mécanismes psychologiques collectifs ou individuels.
  • Sur quels mécanismes l’espoir et la déception se construisent-ils ? Quels sont les acteurs spécifiques, les stratégies ou circonstances qui sont en jeu ? Quelles sont les particularités des cadres moraux, éthiques et politiques à partir desquels les désenchantements se développent ?
  • Comme le mentionnait Bronislaw Baczko évoquant le « climat émotionnel créé par les faits révolutionnaires », mais aussi « la recrudescence des peurs et espoirs dirigeant nécessairement la production des imaginaires sociaux », dans quelle mesure le sur-investissement émotionnel fait-il partie de l’effervescence politique ?
  • La désillusion est-elle seulement le produit naturel d’une illusion préalable ? La déception s’imposerait alors d’elle-même comme un miroir des espoirs révolutionnaires. Toutefois, la déception ne peut être réduite à cela tant qu’elle n’est pas la conséquence naturelle des espoirs révolutionnaires. Ainsi les créations et exploitations de déceptions doivent-elles faire l’objet d’investigations.
  • Comment se traduit la déception en termes matériels ? Comment les politiques, émotions, psychologies et vecteurs sociaux s’articulent-ils entre eux ?

III – Emplois et répercussions de la déception

  • Quelles sont les pratiques sociales concrètes de la déception ? Sont-elles communes à toute la société, ou bien seulement à une part de celle-ci ? Comment des entrepreneurs politiques les exploitent-ils, pour en faire une stratégie d’action ?
  • Quelles sont les conséquences de ces déceptions sur la perception des chercheurs et experts concernant les processus post-révolutionnaires ?

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Grâce à la richesse et à la diversité de ces questions, cette conférence vise à rassembler des spécialistes issus de différentes disciplines en sciences humaines et sociales, sans tenir compte des frontières, quelles soient temporelles ou spatiales. Nous nous consacrerons malgré tout à l’Europe centrale contemporaine, au monde arabe et à l’Afrique sub-saharienne. La contribution devra mobiliser des sources originales, et s’appuyer sur des méthodes d’exposé claires (analyse littéraire, histoire orale, sociologie politique, psychologie sociale, etc.). Les étudiants doctorants et jeunes chercheurs sont particulièrement encouragés à soumettre une contribution.

Calendrier

Date limite pour la proposition d’une contribution écrite (500 mots maximum) : 30 octobre 2019.
Sélection des contributions et retours des organisateurs de la conférence : 10 novembre 2019.

Les propositions de contribution (500 mots maximum) doivent être envoyées à jerome.heurtaux @ cefres.cz, au plus tard le 30 octobre 2019.

Ce colloque international est organisé par le CEFRES, la Faculté des lettres de l’Université Charles, la Faculté des sciences sociales de l’Université Charles, l’Institut d’histoire contemporaine de l’Académie tchèque des sciences , et le projet ERC « Tarica ».
En collaboration avec l’Institut français de Prague, le Centre de civilisation française et d’études francophones de l’Université de Varsovie, le Centre de civilisation polonaise de l’Université de la Sorbonne, le Centre scientifique de l’Académie des sciences polonaise de Paris, l’unité de recherche LADYSS du CNRS (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), ainsi que l’Institut polonais de Prague.

Ce colloque est le troisième dans le cadre du cycle de trois colloques intitulé « 1989-2019 : au-delà de l’anniversaire, les questionnements autour de 1989 » tenu consécutivement à Paris, Varsovie et Prague, coordonné par Maciej Forycki (Centre scientifique de Paris de l’Académie polonaise des sciences), Jérôme Heurtaux (CEFRES), Nicolas Maslowski (Centre d’études françaises (CCFEF), Université de Varsovie) et Paweł  Rodak (Centre de civilisation polonaise, Université de la Sorbonne).

Coûts du colloque

En raison de fonds limités, les organisateurs pourront prendre en charge les candidats ou participants sous-financés seulement. Il est par conséquent conseillé aux participants de chercher d’éventuels moyens de soutien financier auprès de leurs établissements respectifs, ou de sources de financement extérieures.

Comité scientifique

  • Jérôme Heurtaux, CEFRES
  • Michal Pullmann, Université Charles
  • Miroslav Vaněk, Académie tchèque des sciences
  • Pavel Mucke, Académie tchèque des sciences
  • Eliška Tomalová, Université Charles
  • Alia Gana, ERC « Tarica »

Stagiaires 2018-2019

Zineb El Ouassini

Licence en sciences humaines et sociales à l’Ecole de Gouvernance et d’économie (EGE Rabat) en échange universitaire à l’Université métropolitaine de Prague (département International Relations and European Studies)
Intérêts professionnels : Histoire contemporaine, géopolitique et géographie politique de la région MENA, économie et sociologie du développement, études de sécurité,  gouvernance environnementale. Fort intérêt pour les questions migratoires (notamment la question de la situation des réfugiés dans la région Maghreb).
Durée du stage : juin-juillet 2019
Stage de recherche et stage administratif

Hoevi FOCH

Master 1 recherche « monde et civilisation moderne et contemporain » à l’Université Toulouse II Jean Jaurès. Actuellement en échange ERASMUS à l’Université Charles de Prague.
Intérêts professionnels : Intérêt pour l’histoire contemporaine, l’histoire des minorités, de la médecine et du genre au XIXe siècle ; notamment sur les processus de normalisation et de marginalisation dans la société en articulation avec l’histoire de la psychiatrie
Sujet de mémoire de master (intitulé provisoire) : Manie et Mélancolie Toulousaines au XIXe siècle
Durée du stage : juin-juillet 2019
Stage de recherche et stage administratif

Xavier Vest

3ème année à l’Institut d’Étude Politique de Rennes. Actuellement étudiant en échange à la faculté de sciences sociales à l’Université Charles de Prague
Intérêts professionnels : Sciences humaines en général, histoire contemporaine, philosophie politique, relations internationales, sociologie
Durée du stage : juin-juillet 2019
Stage administratif

Léna Perrin

3ème année à l’Institut d’Etude Politique de Lyon (Sciences Po Lyon). Actuellement étudiante en échange à l’université Charles de Prague au sein de la faculté d’humanités
Intérêts professionnels : Sciences politiques, philosophie politique, histoire du droit, droit constitutionnel français et comparé, anthropologie culturelle
Durée du stage : mai-juin 2019
Stage administratif

Jacques-Hans Roche

Licence en Histoire – Parcours Droit et Sciences Politiques à l’Université de Lorraine (UFR Sciences Humaines et Sociales). En échange Erasmus à l’Université Charles de Prague
Intérêts professionnels :
Histoire contemporaine, Histoire des relations internationales, Histoire de la construction européenne, Système institutionnel de l’Union européenne, Vie politique française
Durée du stage : mai-juin 2019
Stage de recherche et stage administratif

Jade Iafrate

Master Sciences Po Aix également diplômée en double cursus d’une licence de droit à la faculté d’Aix-en-Provence. Actuellement en échange à Prague à la Charles University au sein du département de Social Sciences
Intérêts professionnels :Sciences Politiques et l’analyse de la décision politique, les relations internationales, droit international public, l’histoire des droits et libertés fondamentaux, le droit européen et l’histoire de la pensée politique après 1789
Sujet de mémoire de master (intitulé provisoire) : L’impact du couple « politique » sur l’avènement de grands changements juridiques visant à promouvoir les droits universels de l’Homme sous la Ve République française
Durée du stage : Avril-Mai 2019
Stage de recherche et stage administratif 

Koupaia Corbet

Master Esdoc (Bibliothèque, Documentation, Veille) à l’Université de Poitiers, en Sciences de l’Information et de la Communication, UFR Sciences Humaines et Arts
Intérêts professionnels : la science ouverte, la médiation culturelle, la musique traditionnelle, la gestion des données de recherche en information scientifique et technique (IST)
la science ouverte comme outil pour servir la transmission du patrimoine en ethnomusicologie
Durée du stage : Avril-Juillet 2019
Stage administratif en documentation / bibliothèque

Martin Espinas

Licence en Sciences Humaines appliquées à l’université Grenoble Alpes en échange à l’université Charles de Prague
Intérêts professionnels : Histoire contemporaine, géographie et géopolitique mondiale, pluridisciplinarité et approche multiple des sujets à travers les différents prismes des sciences humaines
Durée du stage : Mars-Avril 2019
Stage administratif et graphique

Hector Marchand

Master en Science Politique, mention Science Politique à l’Université de droit de Rennes. Actuellement en échange à Prague à la Metropolitan University Prague au sein du département International Relations and European Studies
Intérêts professionnels et étudiants : Intérêt pour de vastes domaines de la science politique et tout particulièrement ceux relatifs aux questions de politique internationale. Système international, gouvernance, idéologies structurantes , place et dichotomie des acteurs (Etats-nations et acteurs supra/infra/inter étatiques…) ; conceptualisation des conflits et de la sécurité, entre autres.
Durée du stage : Mars-Mai 2019
Stage de recherche et stage administratif

Coline Perron

Master franco-allemand en Histoire et civilisations / Geschichtswissenschaft entre l’EHESS et la Ruprecht-Karls Universität Heidelberg ; élève normalienne à l’ENS de Paris aux départements d’Histoire et LILA (Littératures et Langues d’Ailleurs)
Intérêts professionnels : histoire contemporaine, spécialement l’histoire des pays de l’Est pendant la période communiste ; médiation culturelle dans le domaine de la mémoire historique, en particulier problématiques autour de l’ouverture et de la mise à disposition des archives ; administration d’établissements culturels, notamment de musées d’histoire ; traduction de textes littéraires (français / allemand / anglais courant + niveau intermédiaire en espagnol et notions de russe) ; communication interculturelle
Sujet de mémoire de master (intitulé provisoire) : Les groupes écologistes indépendants en RDA dans les années 80
Durée du stage : Février-Avril 2019
Stage de recherche et stage administratif

Marie-Anna Hamanová

Master en Interprétation (français–tchèque) et La langue et la littérature tchèque, Faculté des Lettres de l’Université Charles
Intérêts professionnels : interprétation, bilinguisme, psycholinguistique, littérature contemporaine tchèque
Sujet de mémoire de master : Bilinguisme comme un désavantage? L’accès lexical dans la première langue des locuteurs bilingues
Durée du stage : Juillet–Septembre 2018
Stage administratif (traduction)