Archives de catégorie : L’équipe du CEFRES

Jérôme Heurtaux : CV et recherche

Directeur du CEFRES

CV : Document PDF

Contact : jerome.heurtaux@cefres.cz

Jérôme Heurtaux est détaché au MEAE et directeur du Centre français de recherche en sciences sociales (CEFRES) à Prague depuis septembre 2018. Maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine depuis 2008, il propose une sociologie politique des changements de régime, en particulier en Europe centrale (Pologne) et au Maghreb (Tunisie). Il a été chercheur à l’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain (IRMC) à Tunis entre 2013 et 2017. Il a également enseigné et travaillé à Varsovie comme coordinateur de l’atelier de sciences sociales de l’EHESS. Entre 2016 et 2018, il a fondé et coordonné l’école doctorale itinérante en sciences sociales en Afrique du Nord – Afrique sub-saharienne. Il a participé comme core researcher au projet ERC (advanced grant) « TARICA » ainsi qu’au projet « EUNPACK » (Horizon 2020). Il collabore régulièrement avec l’Organisation internationale de la francophonie.

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300 jours de détention pour Fariba Adelkhah

Nous sommes confinés depuis 20 jours. Fariba Adelkhah, chercheuse au Centre de recherches internationales de Sciences Po Paris, est en prison depuis 300 jours en Iran. En affichant son visage sur le site des institutions universitaires et des équipes de recherche d’Europe et d’ailleurs, nous voulons manifester le soutien de la communauté scientifique et inciter le gouvernement à tout mettre en œuvre pour sa libération.

Fariba est en danger. Nous devons agir d’urgence pour elle.

©Stéphanie Samper

Michèle Baussant : Recherche et CV

Mémoires des minorités vaincues dans l’Europe postimpériale

Axe de recherche 1 Déplacements, « dépaysements » et divergences. Personnes, connaissances et pratiques

Contact : michele.baussant[@]cnrs.fr

Michèle Baussant est anthropologue, directrice de recherches au CNRS, après des études à l’Université Paris Nanterre, puis un post doctorat au Canada, entre 2003 et 2005, à l’Université Laval (Québec). Ayant une formation universitaire en histoire et en anthropologie, son parcours croise, depuis ses débuts, une perspective anthropologique articulée à d’autres approches disciplinaires (histoire, sociologie politique, géographie, digital humanities…) et une vision comparative et connectée de ses différents terrains qui lui permettent de penser sa thématique principale de recherche : le rôle de la mémoire comme ressource pour d’un côté créer des solidarités fondées sur un passé vécu et/ou transmis, et de l’autre, produire des mécanismes de rejet, d’exclusion et de désaffiliation. Ce parcours se caractérise ainsi par la continuité de ses terrains d’enquête, de l’Algérie dans ses liens avec la France, à l’Égypte et au Liban et enfin aux espaces israélo-palestiniens.

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Johana Wyss : Recherche et CV

Mémoires des minorités vaincues dans l’Europe postimpériale

Axe de recherche 1 – Déplacements, « dépaysements » et divergences. Personnes, connaissances et pratiques

Contact : johana.wyss@gmail.com

Johana Wyss est chercheuse associée au CEFRES et à l’Institut d’ethnologie de l’Académie tchèque des sciences depuis Février 2020. Actuellement, elle travaille avec Michèle Baussant sur le projet TANDEM « Europe : une confédération rancunière des peuples vaincus ? Souvenirs bruts et caducs des minorités post-impériales (européennes) ». Elle est également membre de recherche du réseau V4 de l’Institut Max Planck d’anthropologie sociale à Halle/Saale dans le cadre de son projet postdoctoral « Mémoire et commémoration en Silésie tchèque ».

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Mátyás Erdélyi : Recherche et CV

Assurance, banque et modernité capitaliste dans la dernière monarchie des Habsbourg

Axe de recherche 1 :  Déplacements,  » Dépaysements  » et décalages 

Contact : matyas.erdelyi(@)cefres.cz

Mátyás Erdélyi explore l’histoire sociale et intellectuelle des clercs privés dans la monarchie disparue des Habsbourg : leur lutte pour la légitimation sociale, l’autorité intellectuelle et l’identité de classe moyenne entre l’années 1860 et le début de la Première Guerre mondiale. Il étudie les pratiques bureaucratiques et la production de connaissances dans le domaine des banques et des assurances à Prague, Vienne et Budapest. Il examine en particulier la façon dont les agents, dans les prémices d’un environnement urbain capitaliste, ont négocié et renégocié les questions d’intérêt public et ont conduit à définir ce qui pouvait être qualifié de bien public. Il pose la question de savoir pourquoi et qui a donné un sens à des problèmes sociaux jusqu’alors inexistants, et comment les agents de l’économie privée ont essayé d’assurer et de monopoliser l’autorité sociale contre la concurrence des étrangers et des experts. La raison d’être de cette recherche est de fournir un récit alternatif au processus de modernisation et d’enrichir notre compréhension de la modernité capitaliste à travers l’histoire d’un groupe social marginalisé.

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Maria Kokkinou : Recherche et CV

Mémoires des minorités vaincues dans l’Europe postimpériale

Axe de recherche 1 Déplacements, « dépaysements » et divergences. Personnes, connaissances et pratiques

Maria Kokkinou vient de terminer un doctorat en anthropologie sociale et ethnologie dans le laboratoire de recherche de l’IIAC (Institut Interdisciplinaire de l’Anthropologie du Contemporain) à l’EHESS à Paris. Au CEFRES, elle est chercheuse post-doctorante dans le cadre du projet TANDEM intitulé « L’Europe des ressentiments et des décombres : une confédération de vaincus ? »

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