Archives par mot-clé : philosophie

Dominik Kulcsár – recherche & CV

« Le concept philosophique de révolte : Albert Camus et l’esprit de l’anarchie »

Contact : dominik.kulcsar[@]cefres.cz

Axe de recherche 2 : Normes and transgressions

L’objet principal de ma thèse est l’analyse historique du concept de rébellion. Je travaille avec les théories des anarchistes russes, Mikhaïl Bakounine, Pyotr Kropotkine, et du philosophe français Albert Camus, qui considèrent tous que la révolte trouve son origine dans la notion de liberté. Au-delà de ce fil conducteur, j’ai découvert un lien historique et conceptuel plus profond, jusqu’ici peu exploré, entre la philosophie de la révolte de Camus et les écrits anarchistes de Bakounine et de Kropotkine. Continuer la lecture de Dominik Kulcsár – recherche & CV

Josefína Formanová – Recherche & CV

« Philosophie de l’échec. Négativité et erreur dans la Phénoménologie de l’esprit de Hegel »

contact : josefina.formanova(@)cefres.cz

Axe de recherche n° 2 – Normes & transgressions

Mon projet de thèse se fonde sur une observation essentielle : la société mondiale contemporaine est profondément enracinée dans la quête incessante du succès. Mais ce constat s’accompagne d’un déclin préoccupant de notre capacité à embrasser la passivité ou le doute d’une part, et, d’autre part, d’une tendance croissante à l’apathie, là où l’action devrait être impérative. Dans son cadre le plus large, mon travail explore la notion de passivité dans l’action et affirme qu’elle constitue le socle même des relations significatives entre autrui et le monde. Plus précisément, je préconise une redéfinition de l’activité à la lumière de son caractère intrinsèquement incontrôlable, omniprésent dans chaque acte ou relation humaine. Mes recherches partent ainsi de la situation la plus courante dans laquelle la contingence est palpable : l’échec humain. Continuer la lecture de Josefína Formanová – Recherche & CV

Archives et interculturalité

L’axe de travail de l’équipe « Archives et interculturalité » se donne comme objet de comprendre la philosophie contemporaine à partir de l’étude de ses documents manuscrits et archives. Quelle est la part jouée par l’écriture dans les processus de création conceptuelle ? Cette approche permet de repérer les ancrages existentiels et historiques de l’ensemble varié de pratiques de pensée qu’on appelle « philosophie », et de mieux en comprendre, ainsi, les textes et les idées, ainsi que son ancrage dans les horizons culturels qui l’ont marquée.

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AAC : Penser en paroles : la philosophie à la loupe de ses manuscrits et archives

Penser en paroles : la philosophie à la loupe de ses manuscrits et archives – méthodologies, histoire(s) et horizons

Organisatrice : Benedetta Zaccarello, CEFRES (CNRS-MEAE)
Dates et lieu : 7-9 juin 2018, Prague
Date-limite des candidatures : 21 janvier 2018
Langue : anglais
Partenaires : ITEM, IMEC, Archives Patočka (Académie tchèque des sciences), FHS UK

Merci d’adresser vos propositions (titre et argumentaire de 300 mots) et notices bio-bibliographiques à l’adresse suivantebenedetta.zaccarello@cefres.cz

La philosophie s’écrit, se pratique, se vit : elle est la traduction de l’expérience d’une subjectivité pensante dans un alphabet conceptuel et dans un tissu verbal. Le « je » de la philosophie est une chimère dont la tête effleure les hauteurs des concepts abstraits et des discours universels, tandis que le corps baigne dans cette expérience vécue qui seule peut mettre à l’épreuve la volonté de dire ce qui, depuis Kant au moins, ambitionne d’être valable pour chacun. À la charnière entre ces deux règnes, convoqués par l’effort de la spéculation, se situe la matière verbale dont le sens ne peut à son tour être déterminé qu’en relation aux contextes, aux pratiques d’écriture et de lecture qui la régissent, aux horizons de sens et aux même cibles polémiques qui ont marqué et marquent toute énonciation philosophique. De même, la spécificité de chaque écriture théorique est à la fois condition nécessaire pour que la discipline continue de vivre en se rénovant et transcendant ses propres catégories, et l’aspect le plus subjectif et personnel d’un travail qui vise traditionnellement le « neutre » de l’abstraction.

La « fabrique du texte » philosophique, comprise aussi bien comme son ancrage dans des dispositifs culturels et dans des facteurs sociétaires contingents, se heurte à une idée de la discipline qui pense son histoire comme liée à une suite de trouvailles abstraites, et d’intuitions novatrices échelonnant l’évolution de notre manière de penser. Le philosophe qui écrit est le premier à avoir tendance à effacer ce jeu complexe de négociations, entre existence et théorie, entre innovation conceptuelle et partage terminologique héritant d’une tradition séculaire, alors que manifestement les dynamiques de la production et de la réception philosophiques sont un objet complexe dont un des enjeux cruciaux se trouve dans la nature scripturale du phénomène.

Comme Derrida le rappelle en lisant Valéry, ce dernier aspect du métier du philosophe fait l’objet d’un oubli systématique et presque physiologique dans la manière dont nous nous représentons les ambitions de la discipline. Des frontières fortes semblent traverser des domaines qui sont facilement perçus comme divergents voire incompatibles entre eux : philosophie et littérature sont souvent considérées comme des sœurs ennemies, et leurs horizons respectifs ne prennent pas facilement en compte certains éléments qui se révèlent nécessaires pour comprendre — d’un point de vue dynamique et historico-culturel — la production de la prose théorique. Pareillement, et contrairement aux usages de l’âge romantique par exemple, il est rare que le métier intellectuel conjugue philologie et philosophie.

Pour toutes ces raisons, le manuscrit de philosophie est un objet étrange, auquel on a commencé à une époque assez récente d’attribuer une véritable valeur. Cependant, en Europe surtout, la création d’importantes archives réunissant de corpus philosophiques majeurs – tels Nietzsche, Benjamin ou Kierkegaard – a pérennisé la mémoire de l’écriture philosophique et permis à ces « arches » de traverser le temps en l’attente du moment où, notamment grâce au développement de nouveaux outils numériques, ces matériaux auraient pu trouver l’attention qu’ils méritaient. Le terrain de l’édition de manuscrits philosophiques apprend beaucoup sur l’importance des informations que ces supports sont susceptibles de donner, au-delà même des textes véhiculés par ces documents. Ce qui anime et structure le geste herméneutique fondé sur le travail sur manuscrits est une ontologie différente. À partir d’une telle perspective, l’évolution d’une écriture théorique devient une aventure vivante et spécifique, alors que l’histoire de la discipline peut être perçue comme un processus dynamique, pluridimensionnel et choral à la fois. Cependant, tous les documents d’archives, véritables traces d’autant de pratiques de la discipline disparates et peu connues, ne se prêtent pas à la « forme-livre » et restent par là cachés aux regards du public, alors qu’il est indéniable que l’accès aux archives permet souvent de comprendre l’allure, la méthode, la démarche et même les sources, les cibles critiques, les allusions que la publication a tendance à normaliser, à gommer, à estomper.

Souvent ce ne sont que les spécialistes travaillant à l’édition critique des œuvres d’un écrivain-penseur, ou encore les conservateurs en charge d’un fonds spécifique, qui sont amenés à développer une connaissance véritable d’un tel type de matériaux, car le travail sur manuscrits impose un temps lent de travail souvent incompatible avec les rythmes de la recherche et de la production intellectuelle. De ce fait, la créativité exprimée par les chercheurs dans la mise au point d’outils pensées ad hoc pour l’édition ou l’exégèse des manuscrits appartenant souvent à un seul un corpus philosophique n’a pas encore pu être mise en valeur à travers une approche comparative et visant à l’établissement de principes méthodologiques communs. Si la critique génétique a développée à partir des années 1970 un outillage important et une méthode philologique spécifique pour les manuscrits d’auteur, peu a été fait dans l’élaboration de lignes d’orientation dans le traitement des archives philosophiques.

Ce colloque vise ainsi à établir un dialogue entre spécialistes en provenance de différents pays et continents et ayant travaillé à des corpus différents de sorte à esquisser de premières lignes méthodologique et à établir un réseau collaboratif prêt à continuer dans ce travail de friche. La publication des actes du colloque fournira ainsi une première publication et la constitution d’un consortium de recherche en ce sens.
De plus, en portant à la lumière l’histoire de plusieurs archives philosophiques et leur ancrage dans l’histoire des hommes tout court, nous espérons valoriser ce genre de lieux en tant que sources de savoir et d’apprentissage sur le terrain, en même temps que sensibiliser à l’apport de ce genre de matériaux pour une différente approche à l’histoire et à l’exégèse de la théorie.

Les travaux seront articulés en quatre sections :

1 – Histoire(s) d’archives. Ce volet vise à recueillir des contributions concernant l’histoire de la création d’archives philosophiques ou de leur vies, en soulignant par là l’ancrage de ces institutions dans le paysage culturel et social de leur temps. En « contre-champs » ce même volet cherche à réunir des considérations sur l’idée d’histoire de la philosophie dégagée par le travail sur manuscrits.

2 – Conservation et édition. Ce deuxième volet du colloque a comme ambition de recueillir de témoignage de professionnels ayant travaillé à la conservation et/ou ) l’édition de manuscrits de philosophie pour mieux comprendre les difficultés relatives aux spécificités de chaque écriture théorique et la manière dont ces mêmes ont été affrontées. De même, nous traiterons en ce volet des questions liées à la numérisation des fonds théoriques et à l’intelligibilité de ses produits. Nous espérons recueillir un certain nombre de cas exemplaires ouvrant également à la session suivante du colloque.

3 – Editions et exégèses : approches et méthodologies. Ce volet du colloque vise à ouvrir des perspectives méthodologiques communes à partir de l’observation de plusieurs corpus de philosophe et sera articulé en une suite de contributions et en une table ronde de partage. Nous essayerons par là d’esquisser des lignes d’orientation pour le travail sur manuscrit philosophique, qu’il s’agisse d’édition ou d’exégèse.

4 – Les archives de la théorie. Cette dernière section du colloque aspire à recueillir des contributions concernant des corpus théoriques mais non proprement philosophiques tels la théorie littéraire, l’histoire de l’art, des sciences, la sémiotique… Par là nous espérons dégager des spécificités de ce genre de documents dans leur relation aux matériaux spécifiquement philosophiques.

AAC : Penser au-delà de l’homme : Limites, frontières et fins de l’humain

XVIIe édition de l’Université Européenne d’Été du réseau OFFRES

Date-limite de candidature : 30 avril 2017
Dates et lieu
:  5-12 juillet, Prague
Organisateurs : FF UK et CEFRES
Comité scientifique : Chiara Mengozzi, Ondřej Švec et François Arnaud
Adresse de candidature : ueeprague2017@gmail.com

Voir aussi sur le site de l’OFFRES (Organisation Francophone pour la Formation et la Recherche Européennes en Sciences humaines) Continuer la lecture de AAC : Penser au-delà de l’homme : Limites, frontières et fins de l’humain

Ayşe Yuva : Recherche et CV

Les frontières de la philosophie et l’écriture de son histoire à Prague au XIXe siècle

Axe de recherche 1 : Déplacements, Dépaysements et Décalages

Mon projet porte sur les frontières historiques, géographiques, mais aussi épistémologiques, assignées à la philosophie au XIXe siècle, à travers l’écriture de son histoire. Or à une époque où les philosophies sont de plus en plus conçues comme « nationales », il est intéressant de considérer la place assignée dans la géographie de la philosophie à l’espace slave tchèque et à ses rapports avec l’Allemagne philosophique. Les philosophes de l’université de Prague au XIXe siècle, et particulièrement les germanophones sur lesquels je souhaite travailler, s’inscrivent dans une configuration particulière : écrivant au sein d’un Etat multinational, ils le font dans une langue philosophiquement reconnue, l’allemand, mais dans un espace qui se trouve de fait, en tant que « slave », rangé à la marge de la philosophie.  Or par le classement, la hiérarchisation des systèmes à même les textes – notamment, durant cette période, les discussions autour du « matérialisme » – ces histoires de la philosophie visent aussi des fins pratiques, pédagogiques ou politiques : j’aimerais analyser ce qu’est la « philosophie nouvelle » par laquelle on espère souvent apporter une « paix philosophique » dont les contreparties pourraient également être sociales. J’envisagerai particulièrement la période  autour de 1848. Il s’agira alors d’étudier des déplacements conceptuels plutôt que procéder à la comparaison entre eux de différents espaces politiques, nationaux, culturels que l’on considérerait comme donnés, alors même que leurs frontières sont le lieu de multiples transactions.

CV

Formation et diplômes

2010 : Doctorat de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (sous la direction de Bertrand Binoche)
Titre : L’efficace de la philosophie en temps de révolution. Principes de gouvernement, enseignement, opinion publique en France et en Allemagne (1794-1815). Prix de thèse du C.I.E.R.A.

2005 : D.E.A./Master 2 de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (sous la direction de B. Binoche)
Titre : Schiller et l’histoire. La leçon inaugurale de 1789 « Qu’appelle-t-on et à quelle fin étudie-t-on l’histoire universelle? »

2002 : Diplôme de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris

2001 : Maîtrise/Master 1 de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (sous la direction d’A. Moeglin-Delcroix)
Titre : L’intériorité chez Henri Michaux

2000 : licence de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

1997-2000 : Classes préparatoire « Lettres et sciences sociales » au Lycée Lakanal, Sceaux

1997 : Baccalauréat S Lycée Jean-Baptiste Say, Paris

Parcours professionnel et enseignements

2014-2016 : Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche à en philosophie  morale et politique à l’université de Lorraine

2016 : Qualification aux fonctions de maître de conférences en section 17 (philosophie) et en section 12 (langues et littératures germaniques) du Conseil National des Universités.

2013-2014 : chercheuse invitée au Centre Interdisciplinaire de recherche sur les Lumières en Europe, Université de Halle/Wittenberg

2011-2013 : Post-doctorante au Centre Marc Bloch (Berlin) dans le cadre du projet franco-allemand Esthétique. Aisthesis. Histoire d’un transfert d’idées franco-allemand (1740-1810)

2011 : Qualification aux fonctions de maître de conférence en philosophie (section 17).

2008-2010 : Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

2005-2008 : Allocataire-monitrice à l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne

2004 : Admission à l’agrégation externe de philosophie en France (19ème)

Publications 

Ouvrages
  • Tranformer le monde ? L’efficace de la philosophie en temps de révolution, Paris, Éditions de la Maisons des Sciences de l’Homme, 2016.
Coordination d’ouvrage
  • En collaboration avec Anne Baillot : France-Allemagne : les figures de l’intellectuel, entre Révolution et réaction (1780-1848), Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2014.
Contributions à des ouvrages collectifs
  • « Le récit historique permet-il de résoudre les questions philosophiques ? Les histoires de la philosophie de Tennemann et Degérando », in D. Fulda, E. Décultot (dir.) : Die Vielfalt der Sattelzeit. Strukturen und Tendenzen des historischen Erzählens um 1800 im deutschfranzösischen Vergleich, Berlin/Boston, De Gruyter, p.272-287.
  • « Comment éclairer le peuple souverain ? Sabahattin Eyuboğlu ou les réflexions d’un intellectuel kémaliste » in P. Pellerin, J. Domenech (dir.) : La place des Lumières dans les pays arabo-musulmans XVIIIè-XXIè siècles. Nationalisme, indépendances et printemps arabes, à paraître en 2016 aux Classiques Garnier, collection « Rencontres – Le dix-huitième siècle ».
  • « L’utilité indirecte de la philosophie chez J.-M. de Gérando » in J.-L. Chappey, C.Christen, I. Moullier (dir.) Observer, normaliser et réformer la société du premier XIXe siècle. Joseph-Marie de Gérando (1772-1842) au carrefour des savoirs, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2014, p.63-77.
  • « La raison pure peut-elle être pratique ? La figure du philosophe allemand au début du XIXème siècle en France », in A. Baillot, A. Yuva (dir.) : France-Allemagne : les figures de l’intellectuel, entre Révolution et réaction (1780-1848), Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2014, p.115-134.
  • « Ecriture et histoire : le caractère anti-systématique des Sylves critiques », in E. Décultot (dir.) : Herder und die Künste. Ästhetik, Kunsttheorie, Kunstgeschichte, Heidelberg, Carl Winter Verlag, 2013, p.121-138.
  • « Philosophie populaire et philosophie popularisée : les critiques à l’encontre de l’opinion publique à la fin du XVIIIème siècle chez Garve, Fichte et Kant » in B. Binoche et A. Lemaître (dir.) : L’opinion publique à l’âge des Lumières. Stratégies et concepts, Paris, Armand Colin, 2013, p.211-229.
  • « L’efficace politique des discours philosophiques chez G. de Staël, B. Constant et J.G. Fichte, du Directoire aux guerres napoléoniennes », Actes du colloque La rhétorique démocratique en temps de crise », Nice, 20 et 21 janvier 2011, portail des Revues électroniques de l’Université de Nice, adresse URL : http://revel.unice.fr/symposia/rhetoriquedemocratique/index.html?id=848
Articles

« La fécondité d’une philosophie et ses effets sur le présent : la réception de Descartes et Leibniz chez Bonald, Staël, Degérando et Chateaubriand » in « La mer retentissante ». Descartes et Leibniz au XIXème siècle in Corpus n°68 Paris, Fayard, p.57-76.

« L’efficace politique des littératures étrangères : G. de Staël et l’Allemagne » in Les Cahiers Staëliens, Paris, Honoré Champion, Genève, Slatkine, 2012, p.151-176.

« Rousseau ou le rôle politique de l’écrivain étranger » in Littera edebiyat yazıları, Ankara, n°30, 2013, p.53-65

«Mme de Staël, Benjamin Constant et les « philosophes du XVIIIe siècle » : un héritage contrarié », in Philonsorbonne, 2009-2010, Paris, Publications de la Sorbonne, p.85-107. Article également consultable à l’adresse URL : http://edph.univ-paris1.fr/phs4/numero4.pdf.

« Les républicains de Thermidor, ou produire du nouveau sans « homme nouveau »», La Révolution française. Cahiers de l’I.H.R.F., 6/2014, numéro intitulé « La Révolution ou l’invention de la femme et de l’homme nouveaux ». Adresse URL : http://lrf.revues.org/

Traductions
  • J.G. Herder, « Kritische Wälder » in Herder. Schriften zur Ästhetik und Literatur. 1767- 1781, Frankfurt/Main, Deutscher Klassikler Verlag, 1993, p.11-442. La remise du manuscrit est prévue pour 2017.
  • Fabian Link, « Peuple (Volk) et Race (Rasse) » in Olivier Christin (dir.), Dictionnaires des concepts nomades, vol. 2, Paris, Editions Métailié, 2016, pp. 67-82.
  • « Qu’appelle-t-on et à quelle fin étudie-t-on l’histoire
    universelle? », traduction et présentation du texte de F. Schiller, in Philosophie, Paris, Editions de Minuit, numéro 96, hiver 2007, p. 3-24.
Recension
  • Stephan Jaeger, Performative Geschichtsschreibung. Forster, Herder, Schiller, Archenholz und die Brüder Schlegel, Berlin/Boston, De Gruyter, 2011, à paraître dans le Herder.